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Du meme auteur 20230515

Moi, Aramis

Je me suis éveillée un matin avec une idée forte, puissante, irrépressible : il fallait que j’écrive l’histoire de mon chien Aramis. Sitôt installée à mon bureau, je me suis glissée dans sa peau, j’ai imaginé qu’il racontait sa vie à un auditoire, et j’ai commencé à rédiger ses nombreuses et souvent surprenantes aventures. Après une première lecture, ma famille m’a rappelé d’autres faits, m’a rapporté  d’autres anecdotes encore qui sont venus compléter le récit d’Aramis, chien intelligent, talentueux, dominant, et parfaitement conscient d’être tout cela à la fois !…

Voici donc Aramis, grand chien, beau et intelligent. Il aime à le répéter avec naturel, sans orgueil. C’est pour lui une évidence, un fait indiscutable. Il nous raconte sa vie, nous parle de ses expériences, de ses aventures, de ses amitiés et de ses amours. Il évoque ses maîtres — sa meute humaine — et les nombreux jardins qu’il a partagés avec eux. Ses qualités de cœur  et sa sagesse pourraient servir d’exemple à bien des humains.

Les choix de Nadia

Il arrive que certains secrets de famille soient révélés sur le tard ou dévoilés par la découverte inattendue de quelques documents, comme un clin d’œil du destin. La vérité peut blesser, être dérangeante et même violente. Un choc qu’il faut encaisser, supporter. Prendre conscience de cette vérité. Réaliser, admettre l’inconcevable. Comment est-ce possible ? Vous en venez même à penser que c’était mieux avant, avant de savoir…

Et puis vous vous dites que la connaissance de ce secret était nécessaire, fondamentale pour tous ceux qui y sont associés, qu’ils soient encore de ce monde ou non.

Il vous faut ensuite reconstruire le puzzle qui raconte l’histoire, la vraie, celle avec le nouvel éclairage. Des réflexions, incomprises en leur temps, prennent alors tout leur sens ; des épisodes de la vie quotidienne, des conflits sans raison apparente, trouvent leur explication. Il restera des blancs car les personnes capables de répondre à toutes les interrogations ne peuvent plus échanger avec vous. Les années ont éclairci leurs rangs, ou dérangé les mémoires.

Le long travail de reconstitution puis de restitution pour redonner à vos sentiments et vos émotions leur réalité, demande des efforts, apporte son lot de souffrances, mais il est important de le faire.

De quoi dois-je être reconnaissante ? Qu’ai-je réellement à pardonner ?

Vous détenez enfin les réponses les plus importantes. Les énergies des événements peuvent retrouver leur vraie valeur. C’est essentiel, fondamental.

Le reste est facile. Il suffit de battre les cartes, d’en ôter certaines, de les remplacer par d’autres issues de votre propre imagination. Vous avez alors un roman avec des personnages fictifs et dans lequel :

Rien n’est vrai

Rien n’est faux

Car tout est transformé.

Un rein pour deux

J’ai voulu partager avec mes  lecteurs une expérience difficile, douloureuse, emplie de partages et d’émotions. La stupéfaction, la tristesse, l’angoisse l’ont marquée, mais elle fut aussi riche d’espoir, d’amitié, de solidarité et surtout d’amour.

Dans mon récit n’apparaissent que cinq personnages, les principaux acteurs d’une telle aventure, d’une authentique épopée. Il serait cependant injuste de ne pas évoquer ici les familles, les proches, les amis, qui furent tous apporteurs d’attention constante et de soutien indéfectible.

Un grand merci aux deux héros de l’histoire pour m’avoir livré la globalité de leur expérience, avec leurs ressentis intimes et leurs émotions profondes tels qu’ils les ont vécus. Une grande aide à l’illustration juste du récit, et un éclairage très instructif, pour nous les parents, sur une partie de leur caractère et de leur personnalité.

Connait-on jamais vraiment ses enfants ?

Merci aussi à mon mari, leur père, pour les merveilleux carnets de voyages qui nous permettent de découvrir ce fabuleux pays qu’est la Norvège. Des expéditions instructives et pleines de poésie dans un cadre familial décontracté.

Les pierres sur nos chemins sont là pour nous faire évoluer. Les expériences de la vie, les joies, les bonheurs en arrondissent les angules, en lissent et aplanissent les rugosités.

La vie est pleine d’espoir.


 

Le jumeau d'Anthony (T1)

Des membres de ma famille, des amies, des relations, me firent part au cours du temps de leur immense douleur face à la perte d’un enfant.

Il y a quelques années, une de mes lectrices voulut me rencontrer. Le jeune garçon héros d’un autre de mes romans (réédition à partir du second semestre 2015) portait le prénom de son fils. Ce fut un clin d’œil, un appel pour elle.

Elle me raconta l’inquiétude de son enfant pour son chien quelques semaines avant l’accident qui devait lui être fatal. Il cherchait une personne qui pourrait en prendre soin. Il avait aussi rangé sa chambre le matin du jour fatidique.

Comme s’il savait !

Par la suite, il avait envoyé à sa mère des visions et des messages d’amour, essayant, comme il le pouvait, de diminuer l’immense peine dont il était le témoin malheureux.

Cette femme m’offrit le livre qu’elle avait écrit pour ses proches afin de prolonger la vie de son fils. Elle y décrivait sa rencontre avec la conductrice qui était entrée en collision avec le scooter de son garçon. Une rencontre qu’elle avait redoutée et souhaitée à la fois.

J’ai été émue par son histoire, honorée aussi par sa marque de confiance.

Et puis un dimanche matin, je me suis réveillée avec le souvenir d’un rêve très précis, d’une scène d’une netteté surprenante, comme si j’y avais assisté en spectatrice.

Le début du premier chapitre de ce livre est le reflet précis de cette vision nocturne.

Dans cet état de somnolence qui prolonge la nuit, j’ai donné un nom aux jumeaux et imaginé une fin pour ce roman, plus comme un fil conducteur qu’une obligation à suivre.

J’ai compris alors le sens des rencontres, des échanges, des phrases échappées de ces cœurs en souffrance. Je devais donner à leurs drames une autre vision, leur offrir un autre possible. Sans oublier les pères tout aussi éprouvés et qui vivent leur deuil avec un recul qui n’est qu’apparence.

Mes rencontres, mes lectures sont très importantes pendant cette période d’écriture. Rien n’est dû au hasard. Les échanges que j’ai avec des amies ou des connaissances sont autant d’anecdotes à glisser au fil des pages. Merci à toutes ces personnes qui m’ont fait part des expériences particulières qu’elles ont vécues, des événements peu ordinaires auxquels elles ont assisté.

Mes livres concernent des thèmes que je sais devoir développer au fil des pages.

Ce livre forme le premier tome d’une suite autour d’un thème, que je nomme :

VOYAGEURS DES VIES

Le journal d'Amélie (T2)

Après avoir écrit une bonne partie de ce récit, il m’est apparu que le thème principal qui sous-tendait le chemin d’Amélie était celui du pardon, et de son fidèle compagnon : l’amour.

J’ai donc décidé de consacrer les deux derniers chapitres à des considérations plus particulières à ce thème, en parlant de la vision sur la compassion orientale et sur la perception éclairée des aborigènes.

Le peuple de Ludmilla (T3)

Anthony, Sophia et Amélie partent à la rencontre de Ludmilla, une chamane Shor. Au-delà des riches échanges imaginés entre leurs différentes cultures, se posent les questions : Quel lien ont-ils entre eux ? Pourquoi Ludmilla s’est-elle autrefois rapprochée des jumeaux ? Après « Le jumeau d’Anthony » et « Le journal d’Amélie », je vous offre dans ce troisième volet un roman plein de surprises, où le passé et le présent se mêlent avec bonheur.

Il y a plusieurs années, alors que je venais juste d’éditer Le jumeau d’Anthony, j’ai regardé « par hasard » un documentaire consacré aux Shors. C’est à cette époque que j’ai noté sur une feuille mon choix, comme une évidence : Ludmilla est une chamane, bien entendu, mais ce serait une kam, une chamane shor. Le temps a passé, et lorsque le moment est venu d’écrire « Le peuple de Ludmilla », force m’a été de constater que je connaissais bien peu de l’histoire de ces Shors, ni de leurs pratiques chamaniques. Je me suis donc largement documentée sur la région où ce peuple vit, sur son habitat, ses coutumes… Le livre d’Alexander et Luba Arbachakov : « The last of the Shor Shamans », m’a permis de mieux appréhender leurs cérémonies. J’ai ainsi essayé de pénétrer l’histoire de ce peuple, mais, vous l’aurez compris, ce sont toujours des messages d’amour, d’espoir et de respect que j’essaye de faire passer, dans ce roman comme dans tous les autres.

Vision du jardin (tome 1) : L'été de Lise et Loïc

Mes enfants, lorsqu’ils étaient adolescents, me questionnaient sur mes thèmes favoris : la réincarnation, le karma, l’évolution des êtres, le respect, le mensonge, etc. C’était l’âge de leurs interrogations sur la vie, l’âge des pourquoi, des comment. Leur curiosité était grande sur les possibles. J’essayais de leur apporter les réponses qui sont les miennes, sans fermer le débat car les chemins sont nombreux et variés. Dans le même temps, mes élèves, du même âge, suivaient mes cours de physique et de chimie, et les programmes étaient lourds et bien définis. Ni le lieu, ni le temps scolaires ne me permettaient d’aborder avec eux des sujets à connotation plus spirituelle. J’essayais de leur faire développer leur « bon sens », leur « sens critique » et leur « logique » à travers leurs travaux, mais mon rôle s’arrêtait là, et ma frustration d’enseignante était grande. J’aurais tant voulu leur dire qu’on pouvait appréhender le Monde avec d’autres yeux que ceux d’un scientifique, tout en sachant que les deux regards étaient complémentaires. 
C’est à cette époque que j’ai décidé d’écrire, mais plus tard, lorsque le moment serait venu. J’imaginais que je raconterais une histoire extraordinaire dans laquelle mes thèmes favoris seraient présents. Je pensais alors au roman d’Alexandra David Neel, « Le Lama aux cinq sagesses », ou encore à « La cinquième montagne » de Paulo Coelho. Il me restait un problème à résoudre : comment donner des explications, développer des thèmes qui n’apparaîtraient qu’en filigrane au fil de cette histoire ? 
Le projet murissait petit à petit. Je savais que le temps de poser les mots sur le papier n’était pas arrivé. Et c’est sans impatience que j’ai attendu ce moment. 
Quelques années plus tard, à l’approche de grandes vacances que je devais, pour différentes raisons, passer dans notre maison, j’ai fait un rêve. Pas de ceux que je faisais habituellement. Non, en réalité, c’était un rêve très clair, très précis, ou plutôt une image que j’ai pu décrire dans les détails même une fois bien réveillée. La couverture de cet ouvrage en est la copie conforme. 
« Mais bien sûr ! », me suis-je alors dit… Une jeune femme lisait une histoire à un garçon, l’histoire extraordinaire de Macha. L’occasion d’échanger sur divers thèmes devenait possible. Mieux, la présence de ce garçon me guidait vers des explications simples et imagées. Ecrire la suite de ce premier roman devenait alors inévitable, cette fois-ci avec des échanges d’un autre niveau, plus charpentés, des échanges avec des adultes.  
J’ai appelé l’ensemble de cette série de romans « Vision du jardin », une façon symbolique de faire sortir mes élèves de la salle de classe et de les emmener dans le jardin pour des discussions autres. 
Mes élèves sont devenus des adultes. Liront-ils mes livres ?  Au fil du temps j’ai écrit pour toutes les personnes qui se posent des questions et qui trouveront des pistes, à suivre ou non ; des réponses qui, sans pour autant leur convenir, les aideront à avancer sur le chemin de la connaissance ; un chemin de découvertes et de surprises.

 

Vision du jardin (tome 2) : La re-naissance de Macha

Dans « L’été de Lise et Loïc », je traitais les thèmes qui me sont chers au cours d’échanges entre mon héroïne, Lise, et un jeune garçon. Je tirais parti de l’insatiable et merveilleuse curiosité de Loïc,  enfant lumineux et ouvert. C’était l’occasion de parler du respect, de la tolérance, du pardon, du mensonge, de la réincarnation, du karma, de l’évolution des êtres dans un langage simple et ludique à la fois.

Il fallait donc à Lise un nouvel interlocuteur privilégié afin de poursuivre et approfondir avec lui ces thèmes. Son histoire le lui fournissait naturellement ; ce serait William, LA rencontre de son existence. Cet homme sceptique et au caractère affirmé pouvait l’écouter, mais aussi débattre avec elle, voire la pousser dans ses retranchements. L’Amour qu’ils se portaient étant le garant de l’écoute de l’autre.

A travers mes romans, je souhaite en premier lieu offrir quelques moments de plaisir à mes lecteurs. Je poursuis aussi mon projet d’écriture pour toutes les personnes qui se posent des questions et qui trouveront ici quelques éléments de réponses comme matière à réflexion.

J’espère les aider à avancer sur le chemin de la connaissance ; un chemin de découvertes et de surprises ; LEUR chemin.

Mon propre chemin de vie : ENRICHIR LES AUTRES ET S’EN ENRICHIR.

Vision du jardin (tome 3) : Le destin de Martha

Dans ce troisième volet, le thème du KARMA occupe une place toute particulière.  La mise en situation des personnages qui partagent la vie de Martha et le destin de celle-ci sont les supports privilégiés des discussions sur le thème du karma.

J’avais imaginé une fin plus douce pour Martha, une fin où elle vivrait une vie de prière au sein du temple. Mon choix fait, il m’a pourtant été impossible d’écrire un tel chapitre. Les occupations extérieures se sont accumulées et ne m’ont pas laissé la moindre occasion de m’installer derrière mon bureau. Et puis lors d’une sieste (très souvent un temps de réflexion pour la construction de mes chapitres), j’ai eu l’idée d’un autre dénouement à l’histoire de cette jeune femme : une fin logique, évidente ; des énergies qui reviennent telles qu’elles ont été émises, une loi de cause à effet respectée. Pourquoi n’y avais-je pas pensé d’emblée ? Je devrais dire, pourquoi n’avais-je pas voulu y penser ? Par compassion pour Martha peut-être ; pour faire une « belle fin », comme on dit, certainement.

A partir du moment où j’ai accepté ce nouveau dénouement, toutes ces activités extérieures à l’écriture et qui avaient été  si indispensables et si prenantes, se sont ralenties jusqu’à disparaître complètement. J’ai pu alors terminer d’écrire l’histoire de Martha, sans être interrompue.

A quel point la vie de mes personnages m’appartient-elle ?

Je profite aussi de la découverte par Lise du petit carnet de sa mère pour proposer au lecteur d’autres thèmes de réflexion.

Vision du jardin (tome 4) : Mon fils Jérémy

Un sujet me tient particulièrement à cœur : l’éducation, comme professeur d’abord, un métier que j’ai choisi dès ma prime enfance, mais aussi comme mère : deux approches différentes, mais complémentaires et d’égale importance.

Mon héroïne attendait un enfant : c’était pour moi l’opportunité de traiter de l’évolution d’un être de la naissance à l’âge adulte, à la lumière de la science spirituelle.

J’ai proposé ce 4ème volet de la saga de Lise en  plongeant mes lectrices et mes lecteurs dans une atmosphère de roman policier. Ce type d’ouvrages fait partie de mes lectures favorites lorsque je désire me détendre, passer un bon moment, me vider l’esprit. La tentation était donc grande d’adopter ce genre, en marquant toutefois ma différence.

Les péripéties de mes personnages m’ont permis d’introduire de nombreux sujets, et en particulier la NDE (Near-Death Experience), ou EMI (Expérience de Mort Imminente en français). Je préfère toutefois le terme anglais, plus proche de la réalité. Je venais tout juste de lire le long reportage d’un journaliste sur ce thème, et comme je suis à l’écoute des synchronicités qui s’invitent sur mon chemin, il était évident pour moi de faire vivre cette expérience à l’un de mes personnages.

 

Les aventures extraordinaires de Macha

Dans la saga « Vision du jardin », l’héroïne, Lise partage avec ses interlocuteurs l’histoire extraordinaire de Macha qu’elle écrit pendant ses moments de liberté.

Au gré de mes rencontres et des échanges avec mes lecteurs, j’ai constaté que cette histoire était appréciée en tant que telle, et pouvait intéresser des jeunes lecteurs épris de fantastique.

« Les aventures extraordinaires de Macha » sont extraites des trois premiers volumes de la saga et, après avoir été recomposées, forment sous ce titre un récit à part entière.

Commentaires

  • Virginie DELARUELLE
    • 1. Virginie DELARUELLE Le 23/01/2019
    Bonjour Elisabeth,
    Nous avons fait connaissance à deux reprises à Bègles (Cultura), j'ai acheté tous vos livres. Je viens de terminer la série dont l'héroine est Lise, une fois de plus la lecture s'est fait rapidement, l'histoire est très passionnante et enrichissante sur la découverte au delà au fil de la lecture . Au plaisir de lire un autre roman que vous m'avez parler qui doit arriver vers septembre et de vous revoir. @ très bientôt ! Virginie.
    • elisabeth-bobrie
      • elisabeth-bobrieLe 24/01/2019
      Je vous ai envoyé un message par visiondujardin@hotmail.fr A bientôt

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