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La mort serait-elle une ouverture sur une autre vie ?

La mort serait-elle une ouverture sur une vie différente ?
Les jumeaux le savent bien, car lorsque l’un d’eux meurt, leurs liens sont si forts qu’ils restent ensemble, l’un dans le monde physique, l’autre dans le monde invisible.

Ce dernier va rester près de son frère, l’accompagner et le protéger jusqu’à ce qu’ils se retrouvent ensemble dans le monde invisible.

Mon roman « Le jumeau d’Anthony » met en scène cette continuité dans les relations de deux jumeaux.

L’épilogue est un beau message d’espoir pour les familles endeuillées.

Pour les autres êtres, leur présence est ressentie d’une façon plus ou moins forte, mais le lien n’est jamais rompu.

Un parent peut ne pas s’éloigner de ses enfants et, dans la mesure du possible, il va essayer de continuer à les accompagner et à les protéger.

Les êtres retenus près des siens par leur tristesse restent aussi proches de leurs familles.
Comment peuvent-ils se diriger vers la lumière alors qu’ils sont pleurés chaque jour ?

Nous possédons un corps physique et un corps énergétique, notre âme. A la mort de notre corps physique notre âme s’en détache.
Jusqu’à ce moment, notre corps énergétique était relié à notre corps physique par ce qu’on appelle la corde d’argent. A la fin de notre vie terrestre, ce corps énergétique s’en détache, la corde d’argent se rompt comme un cordon ombilical lumineux.
Notre corps physique, séparé de son corps énergétique se décompose alors et retourne en poussière.
L’âme peut enfin se diriger vers une lumière éblouissante, et passer cette porte lumineuse pour se préparer à une nouvelle existence.
Ce que nous appelons la mort est un grand moment de bonheur pour les êtres qui partent.

C’est la fin de leurs souffrances lorsqu’ils sont malades, la fin de leurs chagrins lorsqu’ils sont dans la peine et surtout ils ne sont plus dans les émotions perturbatrices.

Ils retrouvent leur famille spirituelle et les êtres qui sont partis avant eux et qui les attendent.

Nous devrions nous réjouir de leur départ. Cela leur apporterait une grande joie.