Créer un site internet

Nous avons beaucoup à apprendre des animaux

Nous avons beaucoup à apprendre des animaux.
Mon roman « Moi, Aramis » est l’histoire d’un chien qui raconte sa vie, nous parle de ses expériences, de ses aventures et de ses amours. Ses qualités de cœur et sa sagesse pourrait servir d’exemple à bien des humains.
Cette nouvelle est aussi un message pour nous aider à changer notre regard sur les animaux.
Les minéraux possèdent un corps physique.
Les végétaux possèdent un corps physique et un corps éthérique. Les plantes sont sensibles à la musique, et si nous regardons le contour d’un arbre avec insistance, nous pouvons distinguer un halo lumineux : c’est son corps éthérique.
Les animaux, eux, possèdent un corps physique, un corps éthérique mais aussi un corps astral. C’est un corps énergétique qui englobe plus largement le corps physique et qui contient toute l’essence de l’être.
Les êtres humains possèdent en plus un SOI : ils peuvent dire « Je ». Ils sont individualisés.
Revenons aux animaux. A la mort de leur corps physique, leurs corps énergétiques retournent à ce qu’on appelle leur âme-groupe.
Chaque espèce, et même chaque race possède sa propre âme-groupe. Au moment de sa mort l’animal enrichit son âme-groupe de tout ce que cette nouvelle vie lui a apporté en expériences, en émotions et en apprentissages.
Les nouveaux êtres issus de cette âme-groupe possèderont toutes les qualités et les nouvelles connaissances qui y ont été apportées.
C’est ce qu’on appelle leur instinct.
Que se passe-t-il lorsque les animaux vivent avec des humains ?
Ils s’enrichissent à leur contact, apprennent des mots, des expressions, ils font des expériences nouvelles, éprouvent des émotions, des sentiments particuliers.
Nous constatons que souvent il ne leur manque plus que la parole.
Ces compagnons, qui ont reçu une éducation toute spéciale, vont s’individualiser au contact des humains, et à la mort de leur corps physique, leur corps énergétique ne retourne pas à leur âme-groupe.
Leur corps énergétique va pouvoir s’incarner dans un être humain, pour vivre dans un monde qu’ils ont déjà appris à connaître.